Varnish : Comment booster les performances de son serveur

J’ai été confronté au problème du « out of Memory » sur un serveur récemment. En ayant fait un petit état des lieux, on repère déjà que le système est un « Gandi OS », un peux comme la release ovh. Impeccable pour celui qui ne connais pas l’administration serveur, mais vite limitée des que je site fait un peu de trafic. Dans ce cas, pour moi il vaut mieux héberger son site en mutualisé que sur un dédié « hébergeur OS »…

Donc voila une petite config apache plus tard, ca va mieux, mais ce n’est pas encore la panacée ! Deux solutions : soit augmenter les « parts » (et donc augmenter le cout mensuel d’hébergement) ou refaire un serveur propre.

La deuxième solution a été choisie, sur une base de débian 64 bits. Une fois l’installation faite, le site réinstallé les dns transféré… il est temps de tester la config.

Bon le point positif a noté chez gandi hébergement, c’est l’administration assez bien foutue, avec la gestion des zone DNS en directe (si on n’a pas bind d’installer sur son serveur par exemple), la création de serveur « secondaire » qui permettent de préparer une config, sans couper le site…

Bref, on teste les performances du site. Une base de wordpress avec un W3 cache configuré en memcache mais bon c’est vraiment génial. Dès que le trafic arrive en masse, le serveur sature vite.

Du coup, pour améliorer les choses, varnish est notre ami !

Très simple d’installation (un apt-get après avoir ajouté le repository), 2-3 fichiers à configurer et tout est en place.

On refait un « benchmark » et la il faut s’accrocher, + 4905 % d’améliorations sur le « max request per second ».

En utilisant un seul « petit » giga de ram se stockage, on obtient ses performances. Reste à voir ce week end (ou la plus grosse affluence est attendue) ce que le serveur va donner, mais en tout cas vraiment top le couple apache / varnish / wordpress…


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